Dernière mise à jour: novembre 2022
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Beaune Grèves Premier Cru Vigne de l’Enfant Jésus
Ce fameux cru porte ce nom suite à une prédiction faite par la carmélite
Marguerite du St Sacrement.
Elle avait annoncé la grossesse d’Anne d’Autriche, donnée pour stérile,
future mère de Louis XIV.
Cette religieuse mystique (Marguerite Parigot) de Beaune (1619 – 1648)
affirmait recevoir ses prédictions de l’Enfant Jésus lui-même.
La vigne de Beaune Grèves appartenant alors à sa Congrégation prit ainsi
le nom de « Vigne de l’Enfant Jésus ».
La Maison Bouchard Père & Fils l’acquit en 1791.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 2009 (****)
Nez racé avec de la présence. Les petits fruits rouges sont accompagnés
par une touche de fourrure. Vin corsé et concentré. Les fruits ressentis à
l’olfaction se retrouvent tels quels. Le gras est là, mais il a (en ce moment)
de la peine à compenser des tannins encore un peu fougueux et une acidité
élevée. Vin de caractère, droit et net.
La fermeté finale indique un cru qui doit impérativement évoluer.
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Décembre 2008
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 2005 (****)
Ce « climat » mériterait de passer en Grand Cru. Il est d’une
régularité impressionnante. Il allie structure, élégance et caractère.
Ceci avec un potentiel de vieillissement énorme.
Il est bien trop jeune à l’heure actuelle.
Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 2005 (*****)
Arômes élégants et nobles. Il semble plus ouvert que le 2009 mis
en comparaison. Vin riche avec un gras onctueux. Mais le fruit est
pourvu d’une étonnante fraîcheur vu le millésime. Beaucoup d’harmonie.
Les tannins fringants soutiennent bien la finale. Grande jeunesse.
Vin de classe et de caractère.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 2003 (*****)
Beaucoup de noblesse et d’élégance au nez. On devine un fruit
très mûr de récolte mais il n’est pas compoté. Le fruit part sur la
cerise et la framboise. Vin juteux au fruit sensuel qui reste vif et
frais malgré sa chair soyeuse. Les tannins sont fondus, mais tout
reste ferme et droit. Grand vin qui n’a rien à voir avec le style du
millésime. Il est splendide à l’heure actuelle, mais on devine qu’il
est encore sur la pente ascendante.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1999 (****)
Au nez, tout semble bien fondu avec de l’élégance et une certaine
délicatesse. On est sur les petits fruits noirs et de l’humus. Il semble
cependant qu’il manque de netteté. Le vin est pourvu d’une certaine
rondeur agréable. Mais le fruit semble un peu compoté ou même vieilli.
Une heureuse acidité rehausse l’ensemble.
Les avis étaient très partagés sur cette bouteille.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1995 (*****)
Nez élégant, pur et fin. Le fruit, sur la cerise ou le kirsch, est parfait
de récolte.Vin charnu et soyeux, mais avec une trame serrée.
Les tannins somptueux se noient joyeusement dans la chair fruitée.
L’acidité est vivifiante. Très longue persistance. Vin de grande classe.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1994 (***)
Les arômes indiquent une récolte comme trop mûre, même un
peu compotée.Le vin est simplement agréable, mais il manque
de densité et de netteté. J’espère que d’autres bouteilles sont
meilleures. Mais c’est peut-être dû à un millésime difficile.
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Juillet 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1991 (****)
La couleur est encore d’un rouge profond. Les arômes très denses indiquent un
caractère marqué. Le fruit est accompagné par des notes de tabac avec un peu
de cuir. Le vin est droit et net, sans artifice. On y ressent bien le style un peu
austère de ce célèbre cru. Il est encore très vaillant même si sa structure est moyenne.
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Novembre 2017
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1983 (*****)
Arômes racés et nobles. On sent un Pinot Noir concentré et pourvu d’un
caractère marqué. Vin très structuré avec des tannins encore très présents
et une acidité remarquable. L’équilibre est assuré par la densité du fruit.
Grand potentiel encore.
Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1983 (*****)
Nez racé avec beaucoup de caractère. Note de caramel, de nougat
et d’humus. On sent comme une autre époque, mais que c’est agréable!
Vin rond, presque doux à l’attaque. Les tannins bien construits sont fondus.
C’est l’acidité élevée qui procure la vivacité finale.
Grand vin avec une personnalité affirmée.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1982 (?)
Cette bouteille n’est pas au niveau espéré.
Le bouchon ou un mauvais stockage ont détérioré la qualité du vin.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1979 (*****)
Les arômes sont complexes: fruit bien mûr, bois exotique, épices,
terre fine… L’ensemble est élégant, sans manquer de caractère.
Vin corsé et structuré avec beaucoup de gras. Les tannins et le
boisé lui donnent une certaine rusticité, sans que cela soit gênant.
Le jus fruité, encore ferme et frais, est soutenu par des tannins
vaillants. L’acidité est un soutien positif. Grand vin de forte personnalité.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1978 (?)
Bouteille déficiente.
On y soupçonnait cependant un sujet de belle envergure.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1976 (*****)
Arômes complexes, fins, élégants et nobles. Les petits fruits
noirs sont accompagnés par des notes de cuir, d’humus et de
café. Vin riche, très volumineux. Il est soyeux du début à la fin.
Les tannins sont encore comme granuleux, mais ils sont noyés
dans une chair onctueuse. Un vraie nature faite pour le plaisir.
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Novembre 2022
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1967 (*****)
Nez élégant qui reflète une nature luxuriante. J’y ressent la vie
grouillante de la savane: c’est baroque, comme j’aime. Vin doux
à l’attaque. Tout est séduisant: le jus est débordant de rondeur.
Mais l’acidité élevée procure, comme miraculeusement, l’équilibre
indispensable.
Il faut présenter ce vin uniquement à ceux qui aiment la vie et
ses plaisirs, on exclut les acariâtres.
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Juin 2010
BEAUNE GREVES PREMIER CRU
VIGNE DE L’ENFANT JESUS 1865 (*****)
Resplendissante couleur rouge dense. Les arômes qui se dégagent
sans retenue du verre expriment la noblesse même des grands
terroirs de Bourgogne. Au plantureux fruit noir se mêlent sans ostentation
des notes de fourrure fine et de terre « juste remuée ». La race et le
caractère marquant de ce vin ne l’empêchent pas d’être merveilleusement
charmeur et vivant. La bouche est une vague fruitée d’une extrême onctuosité.
Le palais reste très longtemps impressionné par la richesse et la densité du
fruit. Même après une heure d’ouverture, il reste impérial à tous les niveaux.
On est sidéré par tant de jeunesse: on se tromperait aisément de 120 ans
sur son âge.
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MONTRACHET
Février 2006
MONTRACHET 1998 (****)
Quelle structure! Grand à tous les niveaux. L’ouverture lui permet de déployer
toutes les qualités de ce terroir d’exception.
(je lui préfère le Chevalier-Montrachet du même millésime)
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Mars 2022
MONTRACHET 1988 (*****)
La couleur part sur l’ambre. Les arômes sont nobles et retransmettent bien la qualité
du terroir. Les tertiaires agréables dominent. La personnalité est marquée. La bouche
est riche et concentrée. Le vieillissement fait penser au style oxydatif, chose déjà
ressentie légèrement au nez. Cela reste agréable, mais un peu plus de fruit aurait été
idéal. Le plaisir est de toute façon là. Il faut dire que la naissance du cru arrange bien
les choses.
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CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE
Le « Chevalier-Montrachet la Cabotte » est une parcelle de 0,21 ha appartenant en
monopole à la Maison Bouchard Père & Fils. Elle jouxte le haut du Montrachet dont elle
portait le nom au début du 20ème siècle. Elle fut vinifiée à part du Chevalier-Montrachet
de la Maison Bouchard Père & Fils dès l’exceptionnel millésime 1992. Les raisons sont
parfaitement compréhensibles d’avoir voulu mettre en valeur cette parcelle de vigne.
Elle fournit en effet un vin qui pourrait être considéré comme un peu plus fin et élégant que
le Montrachet, et comme plus « construit » que le subtil Chevalier-Montrachet. Selon le millésime,
ses exceptionnelles qualités peuvent en faire un grand Montrachet ou un grand Chevalier-Montrachet.
Juin 2010 (au Château de Beaune chez Bouchard Père & Fils)
CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE 2008 (****)
Arômes de fruits exotiques mûrs mais frais, sur les agrumes. Le vin est d’une pureté
extraordinaire. Il est équilibré et concentré, sans être pesant. On le boirait maintenant
pour son fruit si vivant, mais c’est quand même un Grand Cru qui, naturellement, doit
évelopper ses qualités sur le temps.
CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE 2007 (***)
Arômes encore dissociés et un peu massifs. Le vin est très dense. Son acidité est
absolument remarquable. Elle lui donne beaucoup de dynamisme.
A attendre bien entendu.
CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE 2006 (****)
Les arômes indiquent une haute maturité de récolte (fruit de la passion).
Le vin est très volumineux et corsé. On sent une base faite pour durer.
Le caractère est bien trempé.
CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE 2005 (*****)
Les arômes de départ sont désorientants. L’ouverture développe des notes de gelée
de coing, de miel d’acacia, de bourgeon de sapin et de pêche blanche. La bouche est
monumentale avec un gras exceptionnel et une densité digne des grands millésimes.
Grand vin en attente.
CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE 2002 (****)
Arômes très spéciaux qui font penser au minéral-iodé des Riesling allemands.
C’est vraiment très intéressant, car la personnalité est forte. La bouche est marquée
par la vivacité d’une acidité citronnée. La minéralité finale indique un vin de haute
expression. Ce vin n’a pas encore atteint son optimum.
CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE 2000 (***)
Le climat ensoleillé du millésime 2000 se ressent du début à la fin. Le fruit de base
semble sur mûre. Le vin est rond et très flatteur.
CHEVALIER-MONTRACHET LA CABOTTE 1992 (*****)
Présenté en magnum, ce premier millésime de Cabotte est extraordinaire. Quelle
vie et quelle nature! Le développement des arômes nobles et racés est fantastique.
On y retrouve de la rhubarbe et du pamplemousse à côté des notes minérales du
terroir. Le vin est pur plaisir. Il confirme la grandeur pressentie à l’olfaction.
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CHEVALIER-MONTRACHET
Août 2012
CHEVALIER-MONTRACHET 2004 (****)
Arômes nobles et racés, typiques de ce grand cru (noisette et beurre fondu).
Le vin est tout en harmonie et en finesse. La chair est veloutée, mais ne
manque pas de dynamisme en finale.
Novembre 2015
CHEVALIER-MONTRACHET 2004 (****)
Arômes typiques: fruits exotiques, brioche, minéralité fine. C’est élégant et dense.
La bouche est bien « tendue », même si le gras enrobe sensuellement la matière.
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Décembre 2008
CHEVALIER-MONTRACHET 2003 (****)
Etonnamment, ce 2003 ne manque pas de fraîcheur. Il est équilibré,
dense et fin, avec une grande structure. A attendre.
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Février 2006
CHEVALIER-MONTRACHET 1999 (****)
Nez floral, avec le type bourguignon qu’on aime: amande, noisette, pain beurré…
Vin gras et velouté de belle structure. A boire et à garder.
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Décembre 2005
CHEVALIER-MONTRACHET 1998 (*****)
Quel grand moment! Toutes les qualités d’un grand Bourgogne blanc. Vin élégant mais
marqué par son fabuleux terroir. Le fruit est là mais le minéral et les notes tertiaires donnent
toute la complexité voulue. Vin exceptionnel. Il est tellement beau maintenant qu’on se demande
s’il peut encore devenir meilleur. Il n’est cependant pas prêt de décliner.
(lors d’une comparaison, je l’ai préféré au Montrachet de la même année de la même maison)
Décembre 2008
CHEVALIER-MONTRACHET 1998 (*****)
Développement optimal à l’heure actuelle. Beaucoup d’équilibre et d’élégance.
Septembre 2014
CHEVALIER-MONTRACHET 1998 (*****)
Ce vin est une grande réussite. Il possède toutes les qualités d’un grand cru:
structure, élégance, race, jeunesse… Un moment d’intense plaisir.
Juillet 2020
CHEVALIER-MONTRACHET 1998 (****)
Le type du grand Bourgogne est là. Tout est bien fait et agréable.
Il lui faudrait un peu plus de dimension et de dynamisme.
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Juin 2009
CHEVALIER-MONTRACHET 1992 (*****)
Nez délicat et fin. Notes d’amande douce, de noisette et de crème fraîche. On ressent un
Chardonnay parfait de récolte. Le vin est harmonieux au possible. Sa structure n’est pas
impressionnante, mais c’est le plaisir-même que de la consommer avec son gras velouté
et son acidité vivifiante en finale. A l’ouverture, il devient encore plus jeune et son fruit
redonne bien les notes typiques d’agrume et de rhubarbe. Vin resplendissant en ce moment.
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BIENVENUES-BATARD-MONTRACHET
Janvier 1998
BIENVENUES-BÂTARD-MONTRACHET 1947 (***)
Ce Chardonnay avait gardé toute son acidité et son gras, avec beaucoup de caractère.
Ce fut excellent, mais il manquait le petit quelque chose qui en fait un vin marquant.
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PULIGNY-MONTRACHET 1ER CRU
Novembre 2005
PULIGNY-MONTRACHET 1ER CRU LES FOLATIERES 1955 (***)
Grande jeunesse. Superbe! L’âge ne l’a pas affaibli. Toutes les caractéristiques
du grand Chardonnay. La bouteille provenait directement des caves Bouchard.
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CHASSAGNE-MONTRACHET 1ER CRU
Janvier 1998
CHASSAGNE-MONTRACHET 1ER CRU
CLOS ST-JEAN, (VIN ROUGE) 1945 (***)
D’un rouge profond, il nous a beaucoup plu par sa forte personnalité. Pinot Noir de
caractère, il lui manquait cependant le volume de bouche. L’appellation y était
certainement pour quelque chose, car le millésime ne laisse planer aucun doute
sur sa grandeur.
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MEURSAULT 1ER CRU
Avril 2001
MEURSAULT-GENEVRIERES 1ER CRU 2007 (****)
Un grand Bourgogne sous tous les rapports.
Déjà excellent à boire, mais peut encore s’améliorer.
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Mai 2003
MEURSAULT-GENEVRIERES 1ER CRU 1998 (****)
Superbe vin fin avec une très belle structure. Une grande personnalité.
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CORTON-CHARLEMAGNE
Juin 2010
CORTON-CHARLEMAGNE 1961 (***)
Belle couleur dorée. Au départ, les arômes tertiaires d’humus et de champignons dominent.
Ils sont un peu austères et rustiques. Le vin est racé avec une trame serrée. Il est encore
frais et jeune, bien que le fruit soit très mûr et transmette des notes de miel et de confit.
L’ouverture le rend plus élégant, amplifie son fruit et lui donne un velouté agréable.
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CORTON
Février 2006
CORTON 1961 (****)
Nez de griotte, de confiture de fraise avec une magnifique vanille… Belle structure.
Le gras voisine le sucre,… c’est sensuel… Finale très vive cependant.
Vin encore très jeune, plus sur l’élégance que sur la structure.
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LA ROMANEE
Juin 2010
LA ROMANEE 1978 (****)
Vin racé avec un caractère assez marqué: on est plus dans le rustique que dans l’élégance
On sent une certaine évolution mais sa haute acidité lui procure une bonne fraîcheur en finale.
Même s’il paraît de structure moyenne, il semble avoir encore de beaux jours devant lui.
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CLOS DE VOUGEOT
Février 2006
CLOS DE VOUGEOT 1999 (***)
Grande structure, beaucoup de gras avec des tannins encore un peu trop « féroces ».
Excellent vin à attendre impérativement. Méritera certainement une meilleure note dans le futur.
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